By biolodidje on sam 27/12/2008 - 16:27 Voici mon propre parcours découverte de didjeridus : mon jumeau m'a fait découvrir l'instrument avec son didje en bambou après avoir rapidement usé un petit bambou trouvé sur Lyon, j'ai acheté mon premier vrai didje en Guadeloupe fin 2000 début 2001. Premier vrai didgeridoo parce que en teck... en vrai bois puis j'ai trouvé plus grand lors d'un boulot véto à Issoire, sous Clermont ferrand... un teck, toujours. vient ensuite l'achat d'un vrai didgeridoo, à Paris, à feu Australian Dream (ils sont retournés en Australie aux dernières news) : un Do en eucalyptus et à... 400 euros ! puis un 2e eucalyptus gravé au Cri du kangourou à Lyon un chanvre à Ozshop en suisse la plupart des autres didjes qui me sont passés entre les mains sont des sanddidjes que j'ai fabriqué... ...hormis 2 didjes acheté chez ididj: 1 yidaki en Ré de Burrngupurrngu et 1 mago, puis un dernier yidaki de cérémonie Aujourd'hui, j'ai tout vendu ou donné mes didjes, à part le Do d'Australian Dreams et le Ré Burrngupurrngu Mon parcours didje est donc assez banal avec le recul : bambou › teck indonésien › sanddidje › eucalyptus › yidaki traditionnel, ce qui représente une progression classique en terme de qualité et donc de tarif. Divers didjes de gauche à droite : bambou (n°1 et 6) fibre de verre = mat de planche à voile (2) teck (n°3 et 4) eucalyptus (n°5 et 7) chanvre (n°8) agave